Aujourd'hui, la Ministre Courchesne lance un plan en 22 points pour améliorer l'enseignement du français. C'est très bien, on ne peut être contre. Sauf cette dichotomie politicienne qui veut opposer "connaissances" et "compétences" et mettre la pédale douce sur la pédagogie par projet, question de faire plaisir aux contre-réformistes.
Mais qu'en est-il du véritable et profond problème de la minorisation à Montréal. Si on comprend bien le Gouvernement Charest et son autre ministre, Christine St-Pierre, il n'y a pas trop de problème de ce côté.
Autrement dit, l'avenir est traçé. Nous serons de moins en moins nombreux à parle le français, mais nous le "perlerons' bien !
Vivement l'indépendance !